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Alors que sa grand-mère est hospitalisée, Nellig profite de devoir veiller sur la maison familiale pour s’accorder des vacances en Bretagne. Mais la demeure est hantée de souvenirs, de présences, d’échos d’enfance enfuie… et Nellig n’aime pas vraiment ça.
La nuit de la Toussaint, tandis qu’une tempête se fracasse sur les côtes et que les phares s’éteignent, pendant que d’anciennes légendes refont surface, le fantôme de son grand-père lui apparaît. Et il a un message à lui faire passer.
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C’est une bien étrange et envoûtante novella que nous livre Rozenn Illiano. Nellig, une jeune femme qui n’est pas sans nous faire penser à l’autrice, est de retour dans sa Bretagne natale pour s’occuper de la maison de sa grand-mère, après que celle-ci a été victime d’un accident. Loin de vacances paisibles, son séjour prend peu à peu une tournure inattendue. Les légendes prennent vie, d’anciennes magies se réveillent, appelant Nellig depuis l’océan…
L’autrice a un style très particulier, imprégné de poésie où perce une pointe de mélancolie, qui correspond à merveilles aux textes qu’elle écrit, qu’il s’agisse de Notre Dame de la Mer ou des nouvelles qu’on trouve sur son compte wattpad. S’il m’a d’abord surprise, il m’a ensuite complètement embarquée dans le récit, pour en sortir la tête remplie de douceur et de nostalgie.
En ce qui concerne l’histoire, je ne saurais pas trop quoi dire, si ce n’est que j’ai beaucoup apprécié le thème. N’étant pas très versée en légendes/mythologie et malheureusement ignorante du folklore breton — pourtant fascinant — j’ai adoré me laisser guider dans cette aventure douce-amère, si sombre mais pourtant si belle.
En bref, Notre Dame de la Mer est une novella que je recommande chaudement, pour son originalité et les émotions indéfinissables qu’elle laisse une fois la lecture terminée, pour la douceur de la plume et la justesse des émotions dépeintes.
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Bien ou quoi ? 